Par ici les mots doux...
Côté chanson
Nos Enchanteurs
"Venue du théâtre de rue, la pétulante Victoria
Delarozière, coupe au carré à la Louise Brooks, petite robe noire
et gros godillots, fout un adorable bordel sur scène"
Nos Enchanteurs
Ouest France
"Le monde de Victoria Delarozière est caustique et plein
d’humour. Entourée de beaux garçons et armée d’un accordéon,
la jeune femme interprète ses propres chansons, en français,
avec un air mutin à faire craquer tout le monde."
Le Nord Littoral
"Chansons tendres au vitriol...Victoria est un pétard d’énergie
qui vous éclate dans les mains. Elle a l’humour franc et enfants
et la fraicheur d’une course de caddie". Double-cliquez sur la zone de texte ou cliquez sur « Modifier le texte » pour ajouter votre contenu.
Nos Enchanteurs
C’est une belle tornade brune qui déboule sur scène ensuite : venue du théâtre de rue, la pétulante Victoria Delarozière, coupe au carré à la Louise Brooks, petite robe noire et gros godillots, fout un adorable bordel sur scène, se déchaine au piano évoquant irrésistiblement, d’ailleurs, la Jeanne Cherhal période longues nattes (remember again !). A suivre de près, assurément, et on lui pardonnera même d’avoir, sur un titre, jeté son dévolu sur votre serviteur pour abuser de lui sur scène…
Patrick Engel, magasine « NosEnchanteurs »
http://www.nosenchanteurs.eu/index.php/2015/06/21/manufacture-chanson-le-jour-j/
Festival Bernard Dimey
Elle chante aussi la crieuse "Victoria ne fait pas que crier les
mots des autres. Sans sa camarade des crieuses publiques elle
a chanté ses mots à elle... L'écriture est subtile et ménage
souvent une chute inattendue. Là encore, les « mecs » en
prennent pour leur grade. Gentiment. Affectueusement
Festival Bernard Dimey
Doué-en-Anjou.
Deux ambiances de chanson française
Deux trios se sont succédé sur la scène du théâtre Philippe-Noiret samedi 1er février, dans des ambiances radicalement différentes.
En ouverture, Victoria Delarozière enflammait d’emblée les planches avec son acolyte Jo Zeugma à la contrebasse. Accrochée à son piano à bretelles, elle a invité la 3e pièce du trio, Marta dell’Anno, à les rejoindre avec son violon pour un set endiablé. Dotée d’une énergie débordante et d’un bagou à l’avenant, la chaleureuse Victoria s’est rapidement mis le public dans la poche. Son talent a fait le reste.
De la salle à la scène, elle bondit et joue avec le même plaisir communicatif et séduit autant par sa personnalité que par sa virtuosité. Une belle entrée en matière, qui s’est poursuivie dans un climat plus rock.
En seconde partie, le blond et néanmoins ténébreux Nicolas Jules a investi l’espace dans un clair-obscur qui se mariait bien avec ses chansons d’amour baroques.
Musicien inclassable et libre, allure juvénile et humour second degré, il n’hésite pas à bousculer le public, qui hésite entre surprise et perplexité. Ses deux complices, un gros dur à mi-chemin entre le catcheur et le métalleux, un ours mal dégrossi aux pattes délicates, caressent ou martèlent leurs instruments avec force grimaces et jeu de scène, ajoutant à l’originalité du trio.
Deux spectacles étonnants et réjouissants pour une soirée dédiée à la chanson française hors des sentiers battus.